C'est le premier long-métrage d'Apple à s'offrir une sortie au cinéma (aux États-Unis tout du moins) :
The Banker vient d'être lancé sur Apple TV+, avec
quelques mois de retard suite à un scandale sexuel autour d'un co-producteur du film. Avec Anthony Mackie, Samuel L. Jackson, Nia Long et Nicholas Hoult, le film raconte l'histoire de deux hommes d'affaires afro-américains qui font appel à un ouvrier blanc, qu'ils placent à la tête de leur entreprise, pour défier les lois raciales et développer leur banque. Le scénario est basée sur une histoire vraie.
Aujourd'hui sort également le troisième épisode de la série
Amazing Stories, qui a commencé à être diffusée il y a deux semaines. Vous pouvez retrouver le calendrier des sorties pour cette première partie d'année 2020
sur cette page. Notez que tous les tournages d'Apple TV+
sont actuellement à l'arrêt à cause de l'épidémie de coronavirus : cela n'aura pas d'influence sur les sorties à court terme, mais les productions prévues pour l'année prochaine devraient prendre du retard.
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Khylna
20 mars 2020 à 11:58
Le premier film n’était il pas plutôt « Hala » ? =)
Sylvain
20 mars 2020 à 12:04
@Khylna : très juste, je l'avais juste mis inconsciemment dans la case "téléfilm", et vu que le mot "cinéfilm" n'existe pas... J'ai rajouté la précision dans l'article.
Elpianiste
20 mars 2020 à 15:58
C’est quoi ce scénario bidon inversé de un fauteuil pour deux ?? 😂😂😂😂😂
JeanLuc
21 mars 2020 à 11:05
Un fauteuil pour deux est une comédie qui s'appuie sur deux ressorts scénaristiques : une théorie de l'acquis versus l'inné en démarrage puis un double délit d'initié à la fin. Rien de réel stricto-sensu même si tout peut être rencontré dans la vrai vie de façon épart.
The banker est un drame et repose intégralement sur une histoire vraie. Elle se déroule dans une Amérique raciste et oppose 2 "banquiers" afro-américains qui ne peuvent pas exercer cette profession à un système politique et social. Pour opérer leur financement d'accès aux logements de population majoritairement elle aussi afro-américaine, il leur faut donc un prête-nom.
On est dans la veine des films d'Apple mettant en évidence des minorités (noir, gays) (n'y voyez rien de péjoratif ni d'offensant)
Deux films donc qui n'ont rien à voir entre eux. Je n'ai pas encore vu le film d'Apple (j'ai déjà vu celui de la Paramount) mais dans la vrai vie, cela fini mal, c'est donc bien un drame.
Pour ceux qui veulent en savoir plus : exemple ici
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